La Chapelle-Saint-Jean

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La Chapelle-Saint-Jean
La Chapelle-Saint-Jean
Le village de La Chapelle-Saint-Jean.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes Terrassonnais Haut Périgord Noir
Maire
Mandat
Daniel Boutot
2020-2026
Code postal 24390
Code commune 24113
Démographie
Gentilé Chapelais
Population
municipale
86 hab. (2021 en diminution de 6,52 % par rapport à 2015)
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 11′ 42″ nord, 1° 09′ 42″ est
Altitude Min. 204 m
Max. 356 m
Superficie 3,70 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Haut-Périgord Noir
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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La Chapelle-Saint-Jean
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La Chapelle-Saint-Jean

La Chapelle-Saint-Jean est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Généralités[modifier | modifier le code]

Dans l'est du département de la Dordogne, en Périgord central, la commune de La Chapelle-Saint-Jean est arrosée par le ruisseau de la Chapelle, un affluent du Taravellou.

Le petit bourg de La Chapelle-Saint-Jean, à l'écart des routes principales, se trouve par la route à plus d'un kilomètre de la route départementale (RD) 62E3, et à près de trois kilomètres de la RD 704. Il se situe, en distances orthodromiques, sept kilomètres au sud de Hautefort, dix kilomètres au nord-est de Thenon et treize kilomètres au nord-ouest de Terrasson-Lavilledieu.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Carte de La Chapelle-Saint-Jean et des communes avoisinantes.

La Chapelle-Saint-Jean n'est limitrophe que de trois autres communes.

Communes limitrophes de La Chapelle-Saint-Jean
Nailhac
La Chapelle-Saint-Jean
Saint-Rabier Châtres

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Géologie[modifier | modifier le code]

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. La Chapelle-Saint-Jean est située dans le deuxième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de roches calcaires très dures du Jurassique que la mer a déposées par sédimentation chimique carbonatée, en bancs épais et massifs[1].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de roches sédimentaires datant du Cénozoïque, du Mésozoïque et du Paléozoïque, ainsi que de roches métamorphiques. La formation la plus ancienne, notée tfρ3, est constituée de grès de Thiviers et d'ardoises d'Allassac, des métatufs rhyodacitiques à chlorite et métagrauwackes, séricitoschistes intercalés (Cambrien moyen à supérieur). La formation la plus récente, notée g1a, est la formation de Boisbreteau moyen et la formation de la Garde, des sables feldspathiques à graviers et galets (Rupélien inférieur continental). Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 760 - Juillac » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].

Carte géologique de La Chapelle-Saint-Jean.

Relief et paysages[modifier | modifier le code]

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 204 m[5] au sud, là où le ruisseau de la Chapelle quitte la commune et entre sur celle de Châtres, et 356 m[5] à l'extrême nord, au lieu-dit Puy la Cassade, en limite de la commune de Nailhac[6].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[8]. La commune est dans l'unité paysagère des « Marges du bassin de Brive », qui correspond à la marge occidentale du bassin de Brive. Elle se caractérise par une succession d’amples vallées, déblayées dans les grès roses et les argiles rouges. Les altitudes s’échelonnent entre 350 et 150 m[9],[10].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 3,70 km2[5],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 3,89 km2[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de la Chapelle-Saint-Jean.

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par le ruisseau de la Chapelle et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 3,5 km de longueur totale[15],[Carte 1].

Le ruisseau de la Chapelle, affluent de rive droite du Taravellou, arrose l'ouest de la commune sur plus de deux kilomètres, servant sur 800 mètres de limite naturelle avec Nailhac.

Gestion et qualité des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Vézère-Corrèze ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de la Vézère et de la Corrèze, d'une superficie de 3 730 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le conseil départemental de la Corrèze[16]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [17].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[18]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[19].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 051 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[20]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Thenon à 10 km à vol d'oiseau[21], est de 12,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 907,1 mm[22],[23]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[24].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

La Chapelle-Saint-Jean est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[25],[26],[27]. La commune est en outre hors attraction des villes[28],[29].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (59,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (59,3 %), forêts (40,1 %), prairies (0,6 %)[30]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Villages, hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Outre le bourg de La Chapelle-Saint-Jean proprement dit, la commune se compose d'autres villages ou hameaux[31] :

  • Beaulieu
  • Belvédère
  • le Bigue
  • Chanteranne
  • le Maine
  • Maratoux
  • Moulin à Vent
  • Puy la Cassade
  • le Reclaud
  • le Vignaud.

Prévention des risques[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de La Chapelle-Saint-Jean est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité très faible)[32]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[33].

La Chapelle-Saint-Jean est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[34]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[35],[36].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de La Chapelle-Saint-Jean.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[37]. 41,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[38].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[32].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom du lieu fait référence à saint Jean Baptiste[39]. Le mot « chapelle » est issu de l'occitan capèla, et correspond à une église non paroissiale[40].

En occitan limousin[41], la commune porte le nom de La Chapela Sent Joan[42].

Les habitants de la commune se nomment les Chapelais et les Chapelaises[43].

Histoire[modifier | modifier le code]

Sur le territoire communal ont été découverts un gisement préhistorique et des traces d'une fortification gallo-romaine, le « camp de César »[39],[44].

La première mention écrite connue du lieu se rapporte à son église sous la forme Ecclesia Sancti Johannis[39] et remonte à l'an 1120, dans une bulle du pape Calixte II qui précise que Saint-Jean près Châtres dépend de l'abbaye de Tourtoirac[45].

Au cours de la période de la Convention nationale (1792-1795), la commune a porté le nom révolutionnaire de La Montagne[5].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune de La Chapelle-Saint-Jean a, dès 1790, été rattachée au canton d'Orse qui dépendait du district d'Excideuil. Les districts sont supprimés en 1795 et le canton d'Orse en 1801. La commune est alors rattachée au canton de Hautefort, lui-même dépendant de l'arrondissement de Périgueux[5].

Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[46]. La commune est alors rattachée électoralement au canton du Haut-Périgord Noir.

En 2017, La Chapelle-Saint-Jean est rattachée à l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda[47],[48].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Au , La Chapelle-Saint-Jean intègre dès sa création la communauté de communes du Pays de Hautefort. Celle-ci disparaît le , remplacée au par une nouvelle intercommunalité élargie, la communauté de communes du Terrassonnais en Périgord noir Thenon Hautefort, renommée communauté de communes Terrassonnais Haut Périgord Noir en .

Administration municipale[modifier | modifier le code]

La population de la commune étant inférieure à 100 habitants au recensement de 2017, sept conseillers municipaux ont été élus en 2020[49],[50].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mai 1977[51]
(réélu en mai 2020)
En cours Daniel Boutot SE[52] Enseignant

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Justice[modifier | modifier le code]

Dans le domaine judiciaire, La Chapelle-Saint-Jean relève[53] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[54]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[55].

En 2021, la commune comptait 86 habitants[Note 5], en diminution de 6,52 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
12894135105149151154154157
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
143164181171163193193169184
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
18016916212313912112011389
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
986762746962759191
2021 - - - - - - - -
86--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[56].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2015[57], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent quarante personnes, soit 43,5 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (sept) a fortement augmenté par rapport à 2010 (un) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 17,5 %.

Établissements[modifier | modifier le code]

Au , la commune compte six établissements[58], dont deux dans la construction, deux relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et deux dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche[59].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Jean.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de la Chapelle-Saint-Jean » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  2. « Carte géologique de La Chapelle-Saint-Jean » sur Géoportail (consulté le 13 juin 2022).
  3. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de La Chapelle-Saint-Jean », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  4. « Notice associée à la feuille no 760 - Juillac de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  5. a b c d e et f Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  6. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  7. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  8. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  9. « Repères géographiques des Marges du bassin de Brive », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. « Portrait des Marges du bassin de Brive », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  11. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de La Chapelle-Saint-Jean », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  14. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  15. « Fiche communale de la Chapelle-Saint-Jean », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  16. « SAGE Vézère-Corrèze », sur gesteau.fr (consulté le ).
  17. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  19. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  20. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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  31. « la Chapelle-St-Jean » sur Géoportail (consulté le 8 novembre 2014)..
  32. a et b « Les risques près de chez moi - commune de La Chapelle-Saint-Jean », sur Géorisques (consulté le ).
  33. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  34. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
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  38. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
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  40. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 100-101.
  41. Patrick Ranoux, préface de René Pijassou, Atlas de la Dordogne-Périgord, Ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996, (ISBN 978-2-9501476-1-5), p. 15.
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  43. Annuaire des maires de la Dordogne 2009, Mediapress, Périgueux, 2009, (ISSN 1770-3387), p. 103.
  44. Jean-Luc Aubarbier, Michel Binet, Guy Mandon, Nouveau guide du Périgord-Quercy, Ouest-France, 1987, (ISBN 2-85882-842-3), p. 79.
  45. Abbé Farnier, Autour de l'abbaye de Ligueux, tome II, Le livre d'histoire-Lorisse, 2003 (fac-similé de l'édition de 1931), (ISBN 2-84373-342-1), p. 233.
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